Les faits : Un individu, dénommé Albert KABONGO, apparemment bien connu à l'UDPS/Paris pour y avoir milité autrefois, aurait ouvert "une école" dont l'objet est de dispenser des cours sur l’histoire du parti afin de préparer les candidats à la demande d'asile politique. Coût de l'inscription : 1200 euro par candidat. Avec la possibilité de payer en plusieurs fois, à la condition expresse d'avoir, au préalable, versé un acompte de 700€. Après la dispense des cours vient ensuite une deuxième étape. Et c'est là que ça fait frémir. A cette étape interviendraient deux personnes : Patrice KABAMBA et Pierre MUKENDI qui, en tant que cadres du parti (l'un est ou a été responsable cellulai re et l'autre est ou a été responsable sectionn aire), demandent pour l’obtention d'une carte ou d'une attestation de membre, la somme de 200 euros. Cela, pour donner un caractère officiel au récit de la victime et confirmer son appartenance à l'UDPS!!! D’après notre source, plusieurs personnes sont passées par là et ont été toutes abusées de cette manière. Pour confirmer ses dires, la dame a même passé un coup de fil, en notre présence, à une personne du même sexe, se trouvant en France et qui a donné des informations qui corroborent la version des faits sur M. Kabongo Albert. Par contre, nous devons reconnaître que cette dernière n'a pas confirmé l'implication de MM. Kabamba et Mukendi, disant ignorer leur existence et supposant qu'ils puissent être les contacts du seul M. Kabongo Albert. Ce qui peut s'avérer correct vu qu'il faut aux victimes, une preuve d'appartenance au parti. Et la dame qui nous informe promet de nous chercher la preuve des liens qui impliqueraient les personnes susmention nées. Comme vous pourriez le remarquer, je fais usage du conditionnel car les personnes citées bénéficient de la présomption d'innocence. Nous tenons à informer l'opinion qu'une enquête est ouverte en interne. Et que quiconque connaîtrait une ou plusieurs personnes qui auraient été victimes de ce stratagème et les noms de leurs auteurs, puisse nous faire parvenir le plus rapidement possible ces informations. Comme affirmé plus haut, le PN suit cette affaire de près, pour ensuite saisir la justice française afin que la lumière soit faite. J. MUNTUABU L. LUABEYA |